à la poudre des cimes
que je vois de ma cabane
aux cendres
aux flammes
à la femme aux cheveux en broussailles
qui m’assure que sa potion
n’est pas du poison,
mais le moyen de pousser les murs
de voir plus grand
au café bruyant de vie
à l’accordéon
au pompon rouge
sur la place
un matin
de novembre