poésie express des boulevards d’août désertéscet homme avec sa guitare cantare soy un italianola voix plus rauque quand il dit «ma langue maternelle »les voyageurs du métro portent un sweat-shirtavec les mots d’une chanson soy un italianoj’enchaîne barbés Rochechouart l’italienneavec un air de foule accordéon qui s’ouvre sur le cielet brusquement s’arrête